- Nouveaux messages de Pamela et article de Gerrit

- E-book : Messages reçus en Égypte - De la peur à la joie

- La connexion de Pamela avec l'Égypte et son projet d'œuvre humanitaire

- Sa maison de Louxor en location

Nouveaux messages et article

Nous aimerions partager avec vous deux nouveaux messages reçus par Pamela Kribbe ainsi qu'un article rédigé par Gerrit Gielen, publiés sur le site jeshua.net/fr :

Culpabilité et Peur chez les Hypersensibles

Un article de Gerrit Gielen

Les personnes très sensibles sont souvent porteuses d'une belle énergie douce et lumineuse, mais elles se chargent souvent d'énergies lourdes et sombres au cours de leur petite enfance. Adultes, elles ont tendance à être en conflit avec ces énergies. Dans cet article, je vais essayer d'expliquer l'origine de ce conflit et comment le gérer

Embrasser l'Individualité

Pamela transmet Marie-Madeleine

Une vie sur Terre - chacune de nos vies sur Terre - apporte une contribution importante et précieuse au parcours de notre âme, y compris les expériences négatives. La peine que vous éprouvez maintenant est comme une pierre qui tombe dans l'eau et crée des ondulations à la surface. L'effet d'une expérience pénible ou traumatisante crée des ondulations à travers le temps et l'on refait l'expérience de ces ondulations en d'autres temps et d'autres lieux afin de comprendre vraiment l'expérience passée et de l'apprécier à sa juste valeur. Ce faisant, en retour on guérit ce point douloureux de son histoire.

Trois Enfants

Pamela transmet  la Terre

Aujourd'hui, je veux vous parler de cette zone de votre corps où est emmagasinée le plus de peine. Avec elle, vient l'incapacité à recevoir réellement, à vous accueillir en profondeur et à "vous tenir debout sur vos deux pieds".

E-book : Les messages d'Égypte - De la peur à la joie

Un nouvel e-book est disponible. Il regroupe des messages récents que j'ai reçus en Égypte lors des ateliers que j'y ai animés. Il y a 7 messages d'Isis, de Jeshua et de Marie-Madeleine sur le thème de la libération de la peur et de la connexion avec la joie intérieure. Les bénéfices seront en grande partie versés à un projet d'œuvre humanitaire dans lequel je me suis investie à Louxor. Dans le paragraphe suivant, je vous en dis un peu plus sur ma connexion avec l'Égypte et cette œuvre humanitaire.

Ma connexion avec l'Égypte et l'œuvre humanitaire

Cela fait deux ans que je visite l'Égypte de façon régulière, en y animant des ateliers et en faisant des excursions aux temples et aux tombes antiques. Graduellement, j'ai commencé à ressentir une profonde connexion avec ce pays et pas seulement pour ses magnifiques sites anciens porteurs d'une énergie spirituelle très raffinée qui me touche énormément. J'ai aussi été de plus en plus touchée par les Égyptiens, leur accueil, leur exubérance naturelle et leur appétit de vivre, leur amour de la danse et de la musique, leur sens de l'humour singulier ainsi que leur faculté de garder le sourire et plaisanter même dans les pires circonstances. Et il va sans dire que les circonstances sont actuellement très éprouvantes pour beaucoup d'entre eux.

J'ai pu y observer de la souffrance à différents niveaux et j'ai lu quelques ouvrages sur l'histoire et la situation socio-économique de l'Égypte actuelle qui m'ont permis de comprendre les nombreuses raisons compliquées responsables de la situation présente. Je vais résumer ce qui m'a le plus impressionnée, sachant qu'il m'est impossible de dresser un tableau complet ni de tenir compte des détails. Il y a une grande pauvreté matérielle en Égypte : dans les pires cas, un réel manque de nourriture, de vêtements ou de toit, mais même quand cela est pris en charge, d'autres facteurs influencent grandement la vie de la population, tels que le manque d'emplois décents, la piètre qualité de l'enseignement (il y a encore un grand nombre d'illettrés) et le manque de soins de santé de qualité.

Toutefois, de mon point de vue, la pauvreté la plus dramatique n'est pas seulement matérielle, c'est le manque de possibilités offertes pour se développer et exprimer ses talents et ses dons qui dégrade l'esprit humain. Seule, la survie compte. Presque toutes les décisions de la vie tournent autour de la question de savoir s'il y a assez d'argent. Il est très difficile de conserver sa créativité et sa liberté dans ces circonstances.

Mis à part les problèmes financiers, il y a d'autres causes au manque de liberté de se développer en accord avec sa nature individuelle. C'est aussi lié à une tradition culturelle qui maintient les hommes et les femmes séparés, qui force les hommes à protéger et à nourrir la famille au point que toute leur énergie vitale est absorbée par cette tâche, alors que les femmes sont très peu encouragées à développer leurs talents et leurs compétences en-dehors de leur rôle d'épouse et de mère. J'ai pu observer de près la vie des hommes, car c'est surtout avec eux que j'interagis lors de mes séjours avec les groupes. Ils semblent disposer de plus de liberté que les femmes qui restent chez elles essentiellement, cependant leurs circonstances de vie (soit des salaires très bas pour de longues journées de travail, du chômage et la honte qui lui est associée) ne sont pas quelque chose d'enviable. Les Égyptiennes me sont encore invisibles, bien que j'en connaisse quelques-unes personnellement et il m'est difficile d'imaginer combien leurs possibilités sont limitées et à quel point leurs talents et leur créativité sont gâchés à cause des restrictions imposées par la tradition et la religion.

Hommes et femmes souffrent du manque de communication réelle entre eux. Ils vivent dans des mondes séparés et c'est comme si les hommes étaient coupés de leur énergie féminine (ils doivent être tout le temps durs et dans le contrôle) et les femmes sont coupées de leur énergie masculine (elles doivent suivre leur mari et s'occuper de la famille, renoncer à leur liberté et à leur indépendance). Et je vois de la souffrance dans leurs yeux, peut-être parce qu'ils sont si expressifs et vivants.

C'est à la fois le manque de moyens matériels et le manque de liberté et de complétude qui m'ont incitée à essayer de faire une petite différence en apportant ma contribution. Je sais que selon une perspective spirituelle, chaque âme choisit les circonstances dans lesquelles elle naît et que les défis auxquels elle est confrontés, tels que la pauvreté et des difficultés, peuvent faire partie de ce que l'âme a besoin ou souhaite expérimenter. Toutefois, en ayant cotoyé de près la pauvreté et les conditions difficiles, je sais juste au fond de moi qu'humainement, c'est quelque chose de terriblement injuste. À plusieurs reprises, cela m'a frappée comme un coup de marteau et j'ai réalisé que nous faisons tous partie de cette humanité, que nous sommes interconnectés, que nous ne faisons qu'un, et que nous ne pouvons pas entrer dans un espace de bonheur et de paix véritables alors que d'autres sont absolument dépourvus du nécessaire et de possibilités vitales.

Je me suis donc demandée comment je pouvais apporter ma contribution, même de façon limitée. Je sens que je suis invitée à le faire de deux façons : la première, largement invisible, et l'autre plus concrète et palpable.

L'aspect invisible a trait au fait d'être ici avec des groupes d'êtres en affinité quand j'y organise des séjours avec des ateliers et des visites guidées d'anciens sites. les groupes sont constitués de personnes déterminées à aller vers une conscience basée sur le cœur, bien que nous ayons tous des blessures du passé et soyons encore parfois enclins au doute et à l'anxiété, j'ai l'impression que notre présence ici fait une différence subtile dans la conscience collective. Notre manière d'être et de penser, de parler et de sourire aux gens, toutes ces minuscules interactions quotidiennes font une différence.

De même, l'énergie christique que je transmets lors des ateliers est souvent forte et intense dans ce pays. Je sens qu'elle est amplifiée par le fait que l'Égypte est vraiment un lieu d'une grande puissance, un faisceau d'énergies cosmiques. Je ne sais pas comment, mais cela fait une différence et je sais que cela n'affecte pas que les participants aux groupes, il y a un impact plus large.

En ce qui concerne l'aspect plus concret : quand je suis en Égypte, je séjourne à Louxor, une ville située au centre du pays, entourée d'une grande richesse de monuments anciens (temples et tombes). Étrangement, je m'y sens chez moi et il y a de cela quelques mois, j'y ai rencontré une Hollandaise, Sabine Borkes, qui y vit en permanence et s'occupe d'un petit projet humanitaire, visant à soulager la souffrance des habitants de Louxor les plus démunis. Hormis des colis mensuels de nourriture, elle et son compagnon égyptien offrent une assistance à court terme aux personnes qui ont besoin de soins médicaux, de vêtements et d'améliorations de l'habitat. J'ai immédiatement perçu leur sincérité et leur intégrité et j'ai eu envie de m'investir dans ce projet.

Leur dernière initiative consiste à participer à la construction d'une école pour des enfants de 5 à 7 ans et ainsi leur permettre d'apprendre les bases de l'Arabe et de l'Anglais ainsi que leur fournir un espace où ils peuvent rester jouer en toute sécurité. J'ai rencontré l'imam local qui a créé ce lieu et j'ai été touché par son idéalisme et son esprit communautaire. Pour des raisons évidentes, je suis assez réservée face à la religion islamique, mais j'ai aussi pu voir qu'en Égypte, les gens vivent leur foi musulmane de manière bien plus pacifique que ne le laissent entendre les médias. Jusqu'à présent, je n'ai jamais perçu chez eux le moindre désir de me convaincre ni de me convertir. Jai perçu chez cet imam un authentique dévouement à sa communauté et cela m'a beaucoup touchée.

L'objectif de cette école n'est pas juste de fournir une maternelle aux enfants issus d'un milieu pauvre et perturbé mais aussi à terme, des cours aux femmes qui veulent s'éduquer. Actuellement, la construction de l'école est retardée par manque de moyens financiers. Il n'y a pas d'aide du gouvernement, c'est une initiative privée basée sur les fonds personnels de l'imam et sur les donations d'étrangers qui soutiennent l'association de Sabine. J'aimerais vraiment qu'ils puissent finir cette école, qui en fait est plus qu'une école : un lieu qui offre soins et soutien aux enfants et aux femmes et qui renforce leur esprit communautaire. Je me suis demandée comment je pourrais accroître ma donation et c'est ainsi qu'est née cette idée d'E-book.

Cet E-book contient des messages reçus en Égypte. Ceux-ci ont pour thème notre relation spécifique avec l'Égypte ancienne et plus généralement la transition de conscience de l'ego - ou de la peur - au cœur. Je pense que nous savons tous à quel point ce processus de transition peut être intense et éprouvant et j'espère que cet E-book offrira un encoura-gement et un éclairage sur cet accouchement très intense au cours duquel nous nous affranchissons de millénaires de programmation et passons à un niveau de conscience nouveau qui est encore très éloigné de la conscience de masse.

Je vais offrir une part substantielle des bénéfices au projet humanitaire dont je viens de parler et je vous remercie d'avance de me permettre de le faire grâce à votre participation.

Au cas où vous souhaiteriez faire une donation directe au projet humanitaire de Louxor, veuillez contacter Sabine Borkes sborkes@hotmail.com pour plus d'informations.

Ma maison de Louxor en location

Je suis en gratitude et très heureuse d'avoir ma propre maison à Louxor. Je vais y séjourner plusieurs fois par an et y animerai des ateliers. C'est une villa neuve, indépendante, située dans un quartier calme sur la rive ouest du Nil, avec une vue merveilleuse sur les montagnes, à cinq minutes du Nil et à dix minutes des boutiques et des restaurants. Il y a deux chambres spacieuses, une salle de séjour avec une cuisine américaine, une salle de bains, l 'ADSL, l'air conditionné, une véranda et un jardin. Je suis si heureuse d'avoir ma petite oasis en Égypte !

Quand je n'y suis pas, la maison est disponible à la location. L'intendance est aux mains de mon ami égyptien Ayman Abounaga. La maison nous appartient en co-propriété et il s'occupera des questions pratiques lors de votre séjour. Il parle couramment l'Anglais et l'Allemand.

Si cela vous intéresse, Ayman sera heureux d'organiser pour vous des visites guidées des monuments impressionnants qui se trouvent à Louxor et aux alentours. C'est un Égyptologue diplômé et un guide expérimenté avec qui je coopère lors de mes voyages. Il est à la fois érudit et passionné au sujet des temples et des tombes. Sur facebook :  https://www.facebook.com/ayman.abounaga.7

La maison sera disponible à la location à partir du mois de Novembre. Son prix : 30€ / nuit, 180 € la semaine, wifi comprise. Si cela vous intéresse ou que vous avez des questions, veuillez me contacter :  pamela@jeshua.net

Très cordialement,

Gerrit & Pamela

www.jeshua.net

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